vendredi 28 août 2009

Plouf-piscine.

Malgré ses sifflements de langue de vipère, malgré la pudeur qu'il me faut respecter, malgré la légitimité d'autres... 
Une pensée forte pour elle, dont elle ne saura rien car on parle beaucoup pour ne rien dire dans son monde.
C'est peut-être ça, aimer quelqu'un, trouver le bon langage.

2 commentaires:

yveline a dit…

Elle entre dans la vie d'après : celle où tout l'univers se rétrécit et se réduit à la maladie. C'est bien de l'évoquer avec des souvenirs heureux et surtout sa langue de vipère

agota a dit…

Et ton petit coeur de moineau, on est là pour en prendre soin : au mieux, dans le possible. Alors no miossec, ma soeur, ma coloc de rêve, sa petite-fille.