jeudi 24 septembre 2009

Sans ballerines.

Je sors d'un cours "ployé, déployé, développé, regroupé". Une couleur.
Et je me retrouve au milieu de sueur, de rires, dans un lieu étriqué, sans pouvoir développer grand-chose.
Mais deux filles et moi dansons sur des instruments déchainés, sans se parler. Sourires, un point. Nul besoin de mots pour s'écouter se secouer. 
Nous dansons, j'entends le rire de Macha fuser, son appareil flasher. 
Une fille me fait mal
tournoyer.
Un homme m'offre une rose.
Mes genoux et mes coudes vivent leur vies sans m'en
parler.
Sueur et autres. De jolies robes, des envies qu'il y ai d'autre gens que j'aiment là.
Lui, et puis d'autres hommes de ma vie (anonyme, je parle de toi.), Emilie, Virginie. 
D'autres noms. D'autres rires, d'autres flashs. 
Mais ce soir, rien que des choses qui m'ont empêcher de souhaiter d'autres choses.



Quoi qu'il en soit, une petite vidéo de Caravan Palace. Ce soir c'était le Hot Club de Toulouse qui m'a fait perdre les calories qui finalement ne sont plus si mal placées. Un peu d'électro en moins...


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Belle joie de vivre, très entraînante. J'aime beaucoup la clarinette. On a l'impression d'une résurrection métamorphosée de musique klezmer.

hors-champ a dit…

Oui, je trouve que c'est un coup de génie!
Réunir deux types de musique si éloignés que sont le swing et l'électro, et donc ravir plein de gens!