En ce moment, peu de dessins, peu de photos, mais j'en ai tout un tas à mettre en ligne ce soir. Non, là je ne pense qu'à bien descendre mes épaules pour ne pas être crispée, pour ne vivre que pour moi. Depuis l'absence, je somatise, je vis pour deux.
C'est mal, m'ont dit des gens bien informés ce matin. Mais je n'y peux rien, mes épaules ne veulent pas entendre raison. Mes nerfs n'en font qu'à leurs têtes.
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