Paris est moins gris. Je marche de Colonel Fabien à Ménilmontant, j'ai acheté des livres.
Je passe devant le Zèbre, devant les couscous, je me promène dans mes romans préférés d'adolescente.
Les personnages de Monsieur Mallaussène prennent vie. Un verre de blanc au Soleil, la pluie tombe à mes pieds. L'homme à droite sent bon la pipe, l'homme à ma gauche en marcel caresse son chat, angora.
Montre-moi d'où vient la vie, Alain, tu es chez moi depuis ce matin.
Des femmes s'ajoutent et se posent comme des oiseaux dans ma tête. Une rockeuse vient me voir de loin.
Alors que j'attends toute l'année octobre et ses marrons chauds, ici il y en a tous les jours devant mon métro.
Des tissus colorés, plein, plein de bruits. On ne peut pas tout avoir, sans doutes.
Le printemps, vite. Vendredi, vite. Lucie, Emilie, Virginie, Macha, vite.
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8 commentaires:
VEINARDE !!!
Vive le printemps ! Moi j'ai carrément sorti mes lunettes de soleil :
http://www.fashion-in-the-city.com/index.php?post/20/03/2010/lunettes-de-soleil-reserve-naturelle
HéHéHéééé... il faut bien trouver quelques avantages à la capitale! pas d'hypocrisie!
Steph, hâte de découvrir ton blog, super lunettes en tout cas!
Apprendre à apprivoiser la capitale....C'est capital ☺....et s'entourer de "bonnes" personnes
Découvrir ☺
Je m'efforce, Lychnis, pour les bonnes personnes, ça n'a pas l'air si compliqué en fin de compte!
Pour le reste, ce sera à taton, quand j'aurai le temps, l'énergie, les guides, le soleil...
Bientôt!
Je te lis et je me retrouve en train d'apprivoiser la grande méchante ville
mais avec tes mots, ta poésie
vous m'aidez bien à les trouves, mes mots.
merci mon comité!
comment ai je pu rater autant de textes, autant de découvertes des recoins de cette maudite Capitale contre qui nous, toulousains, nous n avons pas fait le poids.
Continue à écrire, ma little Piûte, que je découvre Paris sans l envie de me venger de t avoir fait passer la frontière du Nord ...Cha
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