Son bassiste dit : "C'est le seul artiste avec lequel je ne vivais pas un concert, mais une grande messe."
Entre deux pied-de-nez à la faucheuse, il nous fait une déclaration d'amour sur "Night in white satin". Et les vagues d'amour s'écoulent sans discontinuer de lui à nous, de eux à lui.
Les gestes qui semblaient au ralenti, cette incroyable silhouette, de loin, mais si près, qui nous envoie des baisers du bout des doigts. Oui nous vivions tous au ralenti durant ces quelques secondes. Ses bras qui s'allongent, pour nous toucher tous, et pas encore vraiment des applaudissements. Du silence. Profiter de lui encore un peu.
Une grande messe. Une vraie communion, ou même les meilleures langues tirées vers la mort ne pouvaient pas enlever à ces "au revoir" quelque chose de trop vrai.
Mais merde, les baisers aussi étaient vrais.
Mon dieu, ces "I love you.." ....
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